Les faits

En juillet 2014, Monsieur [O], dirigeant et associé majoritaire ainsi que Madame [Y], associée minoritaire de la société [MPM] ont consenti une promesse de cession de l’intégralité des parts de cette société à un tiers, Monsieur [H].

Durant les mois d’octobre et novembre qui ont suivi, l’assemblée générale de la société [MPM] a décidé à l’unanimité d’octroyer à Monsieur [O], au titre de ses fonctions de dirigeant, une prime exceptionnelle de 83 000 € ainsi qu’une autre prime autre titre d’un rappel de salaire d’environ 3 050 €.

Par acte sous seing privé du 4 décembre 2014, les parties ont réitéré la promesse de cession, en précisant dans l’acte le montant de la prime exceptionnelle accordée à Monsieur [O] par l’assemblée générale.

Une fois la cession des parts réalisée, la société [MPM], dont Monsieur [H] était devenu associé et dirigeant, a refusé de verser les sommes allouées à Monsieur [O] par les assemblées d’octobre et novembre 2014.

Monsieur [O] a alors assigné la société (MPM] en paiement.

Monsieur [H] est intervenu volontairement à l’instance en demandant l’annulation des résolutions des assemblées générales pour abus de majorité.

La décision

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