Les faits

Madame C. a cédé le 11 juillet 2017 un bien immobilier, et a demandé sans succès, par voie de réclamation, le bénéfice de l’exonération de plus-value prévue au II de l’article 150 U du code général des impôts, au motif que cette propriété constituait, au jour de la vente, sa résidence principale.

Le 16 décembre 2019, le tribunal administratif de Montpellier a rejeté sa demande de réduction de la cotisation d’impôt sur le revenu et de prélèvements sociaux auxquelles elle a été assujettie au titre de l’année 2017.

Madame C. introduit une requête devant la Cour administrative d’appel.

La décision

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