Le montant disponible pour investir dans un PERP est calculé en plusieurs temps…Le détail de ces calculs d’apothicaire peut être fastidieux. VALERIE BATIGNE nous propose une approche méthodologique.
L’expert en statut social n’est plus qu’incidemment un spécialiste des coûts sociaux comparés, il est surtout un expert en préparation de la retraite. ANALYSE PAR PIERRE YVES LAGARDE
On peut légitimement s’interroger sur la pertinence de l’investissement dans un contrat d’assurance vie relevant des dispositions de l’article 990I du CGI au-delà de 852 500 € par bénéficiaire lorsque les tranches à 20% et 30% au titre des DMTG ne sont pas entièrement consommées. La question de l’arbitrage d’un contrat qui relève de l’article 990 I du CGI au profit d’un contrat relevant de l’article 757 B du même code est donc posée. ANALYSE PAR STEPHANE PILLEYRE
Lors de la souscription en numéraire de titres de sociétés, le dirigeant de PME peut bénéficier d’une réduction d’impôt. Malheureusement l’avantage pourra être partiellement perdu, in fine s’il réalise une plus-value lors de la revente des titres. ANALYSE PAR JACQUES DUHEM
L’assurance vie est le produit d’épargne préféré des français, pourtant sa gestion est pour le moins complexe lorsque l’on s’attarde un peu plus sur ce produit régi à la fois par le Code des assurances et par le Code civil. Trop souvent encore, dans la pratique les clients se voient proposer des formules standardisées qui ne répondent que partiellement à leur situation et préoccupations patrimoniales. ANALYSE PAR STEPHANE PILLEYRE
La CSG au taux de 8,2% est assise sur la majorité des revenus du patrimoine et notamment sur les plus-values sur titres.
Cette CSG est partiellement admise en déduction du revenu imposable de l’année de son paiement, à hauteur de 5,10 points. Bercy a précisé dans son projet de BOFiP publié le 14 octobre dernier les modalités de cette imputation pour l’imposition des plus-values sur titres. Une gestion des flux est nécessaire pour optimiser la déduction.
Les éléments d’extranéité sont de plus en plus fréquents dans les dossiers patrimoniaux. Il n’est donc plus possible pour un conseil de limiter son champ d’intérêt aux problématiques purement franco françaises. Il est essentiel de s’ouvrir au droit international non seulement en matière fiscale, domaine qui constitue souvent le 1er centre d’intérêt de nos concitoyens, mais aussi en matière civile.
Deux points sont traités :
1) La mort annoncée du cumul emploi-retraite
2) L’assujettissement des dividendes aux cotisations sociales professionnelles pour les dirigeants de SA et SAS.
La vie d’entrepreneur se complique encore…La loi HAMON du 31 juillet 2014 relative à l’économie sociale et solidaire (loi ESS) crée, dans les entreprises de moins de 250 salariés, une obligation d’information des salariés en cas de cession d’un fonds de commerce, de la majorité des parts d’une SARL ou des actions d’une société par actions donnant accès à la majorité. Le non- respect de cette obligation est lourdement sanctionné… Analyse par PIERRE YVES LAGARDE
La renonciation à l’usufruit qui ne fait pas partie des causes légales de son extinction telles que définies par l’art. 617 du Code civil résulte cependant a contrario des dispositions de l’art. 621 du Code civil. Elle doit être claire et non équivoque et résulter d’actes positifs.
L’article L 132-13 al. 2 du Code des assurances protège qui ? Le souscripteur ou la réserve héréditaire, institution d’ordre public (!) ??? ANALYSE PAR JEAN PASCAL RICHAUD
Le recours combiné à la société civile et au bon de capitalisation peut-il constituer une alternative au contrat d’assurance –vie ?
La réponse n’est ni simple, ni universelle.
Pour tenter d’y répondre on prendra un petit cas pratique…
ANALYSE PAR YASEMIN BAILLY SELVI